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"La route est longue"
Plein d’espoir et de vie,
Je cherche l’Amour éternel.
Simple de cœur et d’esprit,
On m’appelle l’altruiste sexuel.
Si ces dames, ces grandes sottes
Me traitent de frustré,
Je les en aime je m’en moque,
C’est qu’elles sont mal baisées !
C’est ma sexothérapie…
Quand les soirs de sale lune
Vers quatre heures du matin,
Je me retrouve sans aucune
C’est la que je bois mon chagrin !
Mais la vie ce n’est pas ça
Et la vie moi j’y crois,
Traitez moi de frustré
Moi je ferai l’Amour au monde entier.
C’est ma sexothérapie…
Plein d’espoir et de vie
Je cherchais l’amour infidèle
J’ai perdu dans mon lit
D’incroyables demoiselles
Cupidon sort ta flèche
Juste là en plein cœur
J’ai perdu mon amour
Mais retrouvé mon éveil.
C’était ma sexothérapie…
Au dessus des plaines autant que des océans,
On a construit des rêves pour aller bien plus haut,
On a brisé les chaînes qui nous liaient au néant,
Aussi loin que l’on ne puisse plus.
Entendez les fusées, entendez les avions,
La symphonie des hommes en route pour le soleil.
Le progrès nous attire , change la destination,
Aussi loin que l’on ne puisse plus.
Mais qui veillera sur eux dans les étoiles,
Mais qui veillera sur eux.
Au dessus des plaines autant que des océans
On a vu la misère nous tisser des tableaux,
On a brisé les chaînes qui nous liaient au néant,
Aussi loin que l’on ne puisse plus.
Mais qui veillera sur eux dans les étoiles,
Mais qui veillera sur eux.
Des matins comme ça
J’en voudrais des milliers
J’en veux pour toute la terre
Ça commence comme ça
Des matins comme ça
Ceux qu’on ne peut oublier,
Ceux qui coiffent la sphère,
Qui sont de la classe de celui Là
Un brin de soleil
Un courant d’air d’éden
Un simple sourire
Et toujours le Soleil…
La route est longue…
J'ai l'sentiment qu'auparavant
J'm'emmerdais tellement que j'faisais du vent
Mais les idées claires, claires, claires un soir de bière
J'ai pensé autrement
La route est longue et pas forcément classe
D'la classe de ceux qui s'regardent dans la glace
A croire qu'à force de s'regarder dans le nombril
On tire juste on fonce dans le mille
Ce soir de bière qui avait tout pour me plaire
Parce qu'un soir de bière on se sent toujours fier
J'ai médité sur mon passé, quelques années
Pour regarder c'qu'on m'avait donné c'que j'ai créé
Pas d'illusions je n'suis pas l'inventeur du ciel
Pas d'illusions j'n'ai pas construit la Tour Eiffel
La route est longue et pas forcément classe
D'la classe de ceux qui s'regardent dans la glace.
C'est instrument tunisien que tu m'as offert hier,
avec le temps prend la poussière
Cette si douce main que tu me donnais hier,
s'est barrée comme un courant d'air
Les photos de toi dans ma chambre glauque
arrangent les murs si ternes
Les couleurs beiges marrons qui se confondent,
quel bel atmosphère
Tout va mal, mon amour , mes idées, mes envies,
Tout va mal et je me complais à vivre ici.
J'me crache dessus, ça fait rire les copains,
il paraît pourtant que c'est vraiment pas malin
Ma mère en me voyant aurait vraiment très mal,
son fils génial n'est qu'un animal
J'me crache dessus ça m'fait vraiment du bien
et peu importe ce que disent les gens biens
J'me crache dessus et c'est pas que d'ma faute,
ça m'arrive et pourquoi pas aux autres
Tout va mal, mon amour , mes idées, mes envies,
Tout va mal et je me complais à vivre ici.
Salut mademoiselle je me sens si seul ce soir,
tous les soirs tous les soirs je ne peux m'endormir
Dans mon dos l'amour de ma vie agite son mouchoir,
tous les soirs tous les soirs les même espoirs qui se barrent
Je n'ai plus rien à dire plus rien à écrire
je ne sais vraiment plus comment tenir
J'esquinte le bitume de mes semelles caoutchouc
, 23 ans que je cours déjà un petit bout
Tout va mal, mon amour , mes idées, mes envies,
Tout va mal et je me complais à vivre ici.
Comme un gamin qu'aurait perdu sa mère
Comme un gamin qui voudrait plus voir tous ses frères
J'ai pleuré tant de tant de tant de nuits entières
J'ai laissé tant de larmes coulées de mes yeux fiers
Mes rêves mes rêves étaient devenus si austères
Tous les matins tous les matins les mêmes galères
J'voulais plus croire à toutes ces idées de gloire
J'voulais plus croire à tout c'que j'm'étais laissé croire
En plus elle est partie elle ne voulais plus m'voir
J'me suis mis à trainer dans pas mal de bars le soir
J'voulais chanter c'est la seule façon d'oublier
Les mots ne voulaient plus s'inscrire sur le papier
J'ai trop donné pour arrêter j'ai trop donné
J'ai trop donné pour pleurer j'ai trop donné
J'ai trop donné pour m'effacer j'ai trop donné
J'ai trop donné et je ne suis plus fatigué
Assez déconné…
Nous n'avons pas de pays,
notre territoire c'est la terre
Nous n'avons pas de pays,
tous les humains sont nos frères
Vagabonds dans nos chansons
Nous allons suivre le chemin
Vagabonds voulant que l'horizon
Ne soit plus trop loin
Et le vent qui souffle nous emportera
Vers des territoires lointains
Nous marcherons du côté de ceux
qui lèvent le point
Nous n'avons pas de pays,
notre territoire c'est la terre
Nous n'avons pas de pays,
tous les humains sont nos frères
Des frontières il nous faudra
Franchir et détruire
Et le jour où l'amour l'emportera
Nous n'avons pas de pays,
notre territoire c'est la terre
Nous n'avons pas de pays,
tous les humains sont nos frères
Voyager….
Dis-moi, y'a-t-il des ailes à vendre
A tous les hommes du monde entier ?
Dis-moi, sur mon tapis volant,
Pourrais-je ouvrir les océans ?
De l'est à l'ouest
de tous les côtés ma tête s'en va
De l'est à l'ouest
n'hésite pas suis moi
Et là bas
n'importe où suis moi...